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Marie-Jeanne de BCBG à Cougar, collection Histoire

Anal

Marie-Jeanne de BCBG à Cougar, collection Histoire
La seconde aventure de Marie-Jeanne, la bourgeoise du notaire, toujours rapportée par sa coiffeuse, c’est encore plus hard…

Elle est venue se faire coiffer, un traitement trimestriel, coupe et couleur…
Elle était un peu à l’ouest ce jour-là, elle si enjouée d’habitude.
Il lui a fallu trois quart d’heure pour qu’elle parle, le salon étant vide…
Elle a commencé par pleurer… Il fallait que ça sorte, elle était minée par sa dernière aventure…

Cela faisait 3 mois qu’elle vivait seule. Il lui avait cédé la maison, et les papiers du divorce étaient en route.
Ses enfants n’avaient rien dit, prenant la nouvelle comme une fatalité. Ils vivaient bien trop loin pour savoir ce qu’elle faisait désormais…

Depuis Henry de Montargis, puis sa rencontre avec Mario qui lui avait présenté ses 2 copains, une entrevue de folie qui l’avait marquée, elle avait rencontré quelques amies, s’orientant vers des sorties plus traditionnelles, entre femmes, des restaurants, mais aussi quelques hommes glanés çà et là, au hasard de leurs sorties…
Elles étaient comme elle, seules par accident, et elles cherchaient un second souffle à leur vie sentimentale, mais s’occupant de leurs libidos quand l’occasion se présentait…

Marie-Jeanne les aimait bien, et partageait quelques aventures nocturnes, on ne sait jamais…

Elle avait surtout calmé sa soif de vengeance, en se raisonnant, et ce qu’elle avait connu avec Mario et ses copains lui avait montré les dangers de se donner à n’importe qui…
Elle repensait souvent à son après-midi torride, la chance qu’elle avait eu de tomber sur des hommes aussi respectueux et gentils, aussi virils, qui l’avaient propulsée vers des sommets de la bagatelle…

Trois hommes, trois coureurs de jupons, maîtres en la matière avec lesquels elle avait joui pendant plus de 10 heures, se permettant de les laisser complètement vidés…
Elle, l’ex-bourgeoise BCBG, s’était surpassée et avait prouvé ses qualités… Mario l’avait traité de salope, terme amical, empreint de respect, qui voulait dire combien elle les avait enjoué…
Des heures de sexe, libertin, consenti, partagé, ce qu’elle voulait pour punir son ex…
Elle avait tout fait, tout subi, ou presque…

Justement, elle repassait par ce parc, où elle s’était laissé aller, un peu ivre, un flirt sous ce chêne millénaire, puis s’était offerte dans les toilettes publiques, un souvenir prenant, car elle avait joui de son premier amant…
Elle croisa le gardien qui la reconnut…
Elle continua vers le banc, sous le chêne…

Bon dieu, elle est seule cette fois, qu’est-ce qu’elle vient faire ?
Il la suivait du regard… Elle était assise… Elle l’attendait sans doute…
Il resta à son poste d’observation, attendant son heure…
Elle lisait une revue…

Il s’approcha…

– Pardon, madame, je suis le gardien…
– Oui, bonjour, c’est agréable d’être protégée ainsi… On se sent en sécurité dans ce parc…
– Je m’y emploie… J’aime les gens, les regarder vivre, qu’ils soient heureux dans mon parc… Je porte mon attention sur les jeunes filles qui parfois sont ennuyées… Des mamans aussi, cherchant la fraîcheur des arbres, certaines c’est le soleil, s’allonger, se faire bronzer…
– Vous devez en voir de belles…
– Oui, certaines se croient seules, les ados ne se gênent pas non plus, ils aiment ce chêne pour flirter et plus parfois…
– Ils font l’amour ici ?
– Bien, il y a pire, des toilettes publiques pas très propres, des sous-bois avec du passage… Ici c’est la nature, isolé mais pas trop, on s’y sent bien…
– J’y suis venue avec un ami, il y a quelques semaines… C’est vrai qu’on y est bien pour flirter… Vous avez dû nous voir…
– Je ne suis pas toujours ici… Mais vous me dites quelque chose… Vous êtes si belle que je pense vous avoir déjà vue…
– Et vous avez aimé ?
– Quand on aime les gens… Mais je ne suis pas voyeur… Je me laisse prendre au jeu parfois… Surtout si, comme vous, elle est belle, active et peu farouche…
– Ah, donc vous vous souvenez m’avoir vue faire une fellation à mon ami…
– Je crois que c’était vous, mais n’en jurerais pas… C’était le soir, non ?
– Oui, sans doute avec un soleil couchant… Et il m’a caressée aussi, sur ce banc…
– Oh, oui… Je ne voyais rien…
– Je pense avoir joui quand il m’a prise… Vous avez entendu ?
– Oui… Je vous ai entendue distinctement, vous étiez écartelée, face à lui, les seins offerts…
– C’est vrai, j’avais oublié, une bonne position pour baiser sur ce banc si accueillant… Mais il a déchargé très vite… Trop vite…
– Ah, dommage pour vous, madame… C’était votre amant ?
– Oui, mais je ne l’ai pas revu…
– Non ? Ah ?…
– Je suis passée ici pour repenser à ce moment… C’était mon premier… Il m’a mis l’eau à la bouche…
– Moi aussi, j’aime ça…
– Je vous plais ?
– Oh, oui, bien sûr…
– Quel est votre prénom ?
– Mickey…
– Marie-Jeanne…
– Vous draguez souvent dans les parcs ?
– Non, jamais, je suis sérieuse de nature et mariée à un notaire… Mais il m’a trahie, c’est pour cela que je suis venue ici, pour me venger…
– Ah !… Et vous manquez de sexe ?
– Caressez mes seins comme il avait fait… Sortez votre engin, j’aime partager…
– Sucez-moi, j’adore ça… Vos seins sont si beaux, je me régale de les masser, de mordiller vos tétons, de les sentir durcir… Vous devez mouiller… Oh que c’est bon !… Vous sucez bien, oh !… Doucement… C’est trop bon… Je vous sens humide sous mes doigts…
– Ma chatte est trempée, vous la voulez ?
– Ben… Oui…
– Tu vois, j’aime me faire baiser… Viens, tiens, prends-la, enfonce ton gros zob poilu… Oh que j’aime ce parc !…
– Tiens, je vais te pilonner, j’ai envie, c’est dingue ! Tu m’excites d’ouvrir tes cuisses… Oh que tu es douce et bonne, je t’ai enfilée, je vais jouir dans ta chatte…
– Attends, calme-toi… Viens lentement, voilà…
– Oh, tu me baises… Que tu es bonne… Tu t’empales sur ma queue…
– Prends mes seins et masse-les en même temps… Tu deviens dur, elle grossit… Je me laisse aller, je jouis de toi Mickey, je me baise avec ton sexe, j’adore me planter vos queues…
– Putain que c’est bon… Tu baises à fond… Je te sens vibrer, onduler, fourrer ta chatte avec ma bite…
– On peut faire pareil dans mon cul…
– Oh !… J’aimerais te prendre en levrette, te sodomiser, te faire jouir, crier de plaisir…
– Ici ?
– Non, j’ai un coin, la remise…
– Si tu veux… Je me rhabille…
– Suis-moi, c’est par là…

– Entre, je referme derrière nous…
– Oh c’est bien tenu, il y a tout pour tondre, et soigner les plantes…
– On peut se foutre à poil, regarde, le canapé est propre…
– Tu dors ici ?
– Parfois, pour surveiller les oiseaux, on passe des nuits…Viens, allonge-toi… Tu es trempée… Je vais lécher ta chatte…
– Oh, oui… Je vais jouir… Tu me suces bien… J’ai envie de toi maintenant…
– Relève tes fesses, écarte les cuisses…
– Oh, oui, tu me fais jouir déjà… Vas-y baise moi à fond…
– Tu es bonne, j’adore ton cul, ta chatte est sublime, tu es trempée…
– Caresse mes seins, bourre-moi… Oh, oui… Plus fort !… Vas-y lâche-toi… Encore !… Plus fort ! J’aime qu’on me baise sauvage, comme si tu me violais…
– Là !… Tiens, je vais te la détruire, ta chatte…
– Prépare mon cul, oui… Entre tes doigts… Oui… Vas-y, prends mon cul, pousse, plus fort !… Oui !… Oh, tu es gros, je te sens bien…
– Tu es large, tu dois le faire souvent…
– Pas tant que ça, c’est mon jardin secret… J’aime sentir un sexe dans mon cul que depuis l’autrefois… Vas-y… Explose ma rondelle, oui, comme ça !…
– Tu te masturbes ?
– Oui, le clito… J’adore, je veux jouir avec toi… Allez, viens, emmène-moi au bout. Je veux te sentir gicler dans mes entrailles… Vas-y, baise-moi… Oui ! Je viens aussi, encule-moi !
– Oh, que tu es bonne, je vais jouir en toi, je viens, tiens, salope ! Prends-ça dans ton derche !
Ah tu aimes ça ! Alors gueule ta jouissance ! Tiens-toi bien, je vais te défoncer, tiens !…
Accroche-toi !… Ah, tu jouis aussi ! C’est bon hein ? Mon pieu qui éclate ton cul… Allez lâche-toi, fais-toi jouir, masturbe ta chatte, ton clito, tes seins, oui !…
Comme ça, oui… Oh que tu es belle quand tu jouis du cul !…
Oh, tu pisses ? Ah, non tu te fais fontaine… Tu lâches ton nectar quand tu te branles ?… T’es vraiment une vraie coquine !…

Je suis trempée… Il a explosé en moi et j’ai forcé pour jouir encore, j’ai tout ouvert, et j’ai senti ma chatte couler… En jets ambre, mélange de sexe et d’excitation suprême…
Putain qu’il m’a allumée le gardien… Il m’a défoncée vraiment !
Ma tête tapait contre le mur sous ses coups de reins…
J’étais en transes, je sentais son sexe démonter mon anus…
J’étais sienne, soumise, j’aimais ça, première fois si chaud, si intense, si macho, rustre, il claquait mes fesses qui ont rougi…

Putain ce que je deviens…

Adieu la femme du notaire si prude et si BCBG, toujours bien habillée…
Je me fais baiser par n’importe qui, n’importe comment, à plusieurs, dans des chiottes, je jouis comme une truie, par tous les trous et je les excite, couverte de sperme, je les pompe, les branle, me branle en beuglant mon plaisir, en leur offrant mon cul, à poil entre leurs pattes sales et leur haleine de chacal…

Je deviens un paillasson, un garage à bites, un coup gratuit, je descends aux enfers…

Tu vois ma chère coiffeuse, je me sens déchet ce matin, une moins que rien, je me suis donnée à un inconnu hier, dans un parc, comme une ado, il m’a baisée dans une resserre, si fort que je me suis lâchée, coulant ma fontaine…
Il m’a baisée sans relâche pendant une heure, prenant mon sexe et mon cul, comme un soudard et une catin, braillant mon plaisir, jusqu’à la fin, détruite, vidée, le sexe et le cul explosés…
Je ne te connais pas, ne sais pas ce que tu pratiques, mais là…
Putain, je suis tombée bien bas…

– Je suis une femme moderne, j’aime faire l’amour, avec mon ami, je fais tout, j’aime la sodomie de temps en temps… J’ai des sex-toys, des braquemards à piles… Je me masturbe quand je me sens en manque… Je n’ai pas eu beaucoup d’amants avant lui, une vingtaine… Ce que tu décris, c’est ta libération, comme celle que la femme a connu après 68.

Tu étais mariée à ton notaire, et sexuellement bridée, même s’il te baisait quelques fois…
Là tu t’es ouverte au sexe libertin, et tu as apprécié ce bond en avant dans ta libido, ces sensations nouvelles, de se donner à plusieurs hommes sans réfléchir, t’ouvrir à d’autres pratiques, choisir, sentir des sexes en toi sans voir qui est au bout…
Des bites partout, avoir envie de tout connaître, d’être adulée, courtisée, caressée…

Moi aussi j’ai connu ça. Les femmes d’abord, avec des occasions, ici, certaines ne se gênent pas… Ensuite des hommes, profitant de notre promiscuité pour me caresser, et j’ai cédé deux ou trois fois en posant mes ciseaux, écartant mes cuisses et caressant ma chatte, puis, fermant la boutique et continuant dans la réserve, nue et offerte à leurs désirs lubriques…
Puis mon ami eut envie de partager… On a invité dans nos relations, pour des soirées d’échange.
Puis on a essayé les clubs, j’ai connu d’autres hommes devant lui, et lui des femmes devant moi…
J’ai été désirée, caressée, prise devant lui, jouissant d’un autre, un noir une fois, regardée par d’autres hommes, par d’autres femmes aussi, et en groupe, à plusieurs couples mélangés, bouffant des bites et des chattes toute la soirée…
Tu vois je suis moderne… Comme on dit…

Mais bof, je ne suis pas mariée, 38 ans, pas d’enfant, je rêve d’en avoir et s’il ne veut pas, en septembre je me ferai mettre enceinte…
– Par lui ?
– Ou par un autre, un beau gars, ici, j’ai le choix… Ils amènent leurs enfants, car j’ai cessé de travailler avec les hommes, je fais juste ma famille et quelques amis…
– Et les femmes tu continues ?
– J’ai souvent des tentations… C’est une autre chose, j’aime la tendresse des femmes, le partage, cette symbiose que l’on ressent en faisant l’amour… Tu n’as jamais essayé ?
– Non… Pas l’occasion…
– Viens demain soir vers 18 heures, j’ai une de mes soupirantes, elle est jolie, jeune comme nous, très bien, elle parle souvent des femmes, et m’a fait des confidences sur sa copine, qu’elle veut quitter… Elle me regardait, mais j’ai éludé le piège… Je ne veux pas d’aventure sérieuse, juste des moments de calme, une étreinte… Je ne veux pas quitter mon ami pour l’instant, encore moins me mettre en couple lesbien… Si tu es là, je serais plus tranquille…

A 18h00, je pousse la porte… Marie, ma coiffeuse, me sourit et vient m’accueillir…
Elle me présente, Lilas, une cliente, belle brune aux yeux vert-clairs, jupe courte, marron, top en coton, très bariolé, sourire, et cheveux mouillés…

– Je continue Lilas, passe un peignoir Marie-Jeanne, je vais te prendre après, mais reste avec nous pour bavarder, je sors pour voir la boîte aux lettres…
– Vous la connaissez bien ?
– Oui, depuis 20 ans que je suis ici…
– Ah !… Mais vous… Enfin vous êtes juste cliente ?
– Oui, un peu plus, disons que l’on échange des potins aussi, on s’aide entre femmes, on parle de nos mecs, bien qu’en ce moment, je sois seule…
– Oh ? Divorce ?
– Oui… Un coquin qui flirtait dans mon dos… Mais je me suis vengée, et je continue…
Marie aime que je lui raconte mes aventures, mes rencontres… Et toi ? On va se tutoyer Lilas…
– Oui… J’aime ça, les femmes… L’intimité, l’ambiance… Je vivais avec un homme, et j’ai eu un coup de foudre pour une fille… 1 an… J’en ai marre, elle devient impossible, râle sans cesse… On ne s’entend plus…
– C’est plus facile de se séparer sans contrat…
– Oui, c’est vrai, surtout que je suis chez moi… Mais elle a une bonne place… Je ne la mettrai pas à la porte un soir… Tu as connu des femmes ?
– Non, pas eu le temps, j’aime les hommes… Mais j’ai flirté avant, j’ai les bases…
– Tu es très belle et très attirante, tu as du style, tu dégages quelque chose… J’aime ça… Marie c’est pareil, elle est autoritaire, étant donné sa fonction, ses responsabilités, mais douce, avec des doigts de fée… Elle m’attire sans le savoir… Mais chut la revoilà…
– Vous faites connaissance, c’était mon ami, libre ce soir, foot chez des copains et dodo aussi, car bourré sans doute, on sort les filles ? On a la nuit entière…
– Pour moi, c’est d’accord, Marie.
– Euh… Moi aussi, je reporte ma soirée… Oui je suis accro aux cartes…
– Poker ?
– Parfois, coinche, canasta, bridge…
– Pas mal, j’aime aussi, avec les échecs, mais là je les collectionne…
– Oh, oui… Moi aussi depuis quelques temps…
– Bon, on va où ?
– Restaurant en premier ?
– Vouais… Mais…
– J’aime prendre l’apéro dans un bar avant, on ne sait jamais, si on rencontre un riche aventurier qui nous offre le resto…
– Ah, malicieuse Marie… Du vécu ?
– Un peu… Une seule fois, mais ça avait marché…
– Et tu avais donné ton cœur ?
– Non, juste ma chatte dans un hôtel minable… Mais bon… En ce temps-là…
– Il faudra nous raconter Marie… Et toi Lilas, des idées ?
– Plein la tête en vous regardant… Vous êtes pareilles toutes les deux, belles, sensuelles, aimant la vie, intelligentes, des femmes du monde…
– Toi tu es en train de réfléchir sur ton sort, ta copine qui te plaque, le vide dans ton lit, etc…
– Elle ne me plaque pas, elle… Je ne sais pas… Oh…
– Attends ma belle, laisse tes cheveux sécher, tu vas me démonter le séchoir…

Marie se rapproche de sa cliente-amie, la prend dans ses bras…

– On va s’éclater ce soir. Lilas, un mec ça t’irais aussi, tu n’en as pas eu depuis quand ?
– Pouh… 1 an facile… Avant Jen… Oui, 1 an…
– Tu te souviens comment ça marche ?
– Oh !…
– Une bonne queue dans ta chatte te remettra les idées en place et te calmera…
– Tu crois que c’est ça ?
– A force de te gouiner tu oublies les bases… Un bonne baise avec une bite qui te ramone, tu es remise en place et peut te divertir avec qui tu veux…
– Oui, Marie a raison, tu as oublié combien être désirée, regardée, pelotée, est efficace pour ta libido… Se sentir désirée, sentir sa bite en dansant, ou entrevoir la bosse… Dieu que c’est jouissif…
– C’est ça qui vous branche ? Moi c’est vous… Sentir votre parfum, vos lèvres, cette sensualité que vous dégagez, vos mains, votre regard sur moi, ce sourire… Je me sens emportée, vers vous, comme envoûtée… J’ai des picotements, j’ai envie de vous prendre dans mes bras, ou de me glisser dans les votre…
– Et tu ressens cette attirance ? Ton intimité devient moite ?
– Oui, comme pour un mec, je sens ma chatte couler, j’ai envie de votre langue, je la ressens, mes seins le font mal… Maintenant ?
– Euh… Oui, quand on parlait avec toi, MJ… J’aime quand Marie parle de sexe, j’ai envie d’elle… De la toucher, de me frotter à elle, de lécher sa chatte, de lui ouvrir la mienne, sa langue, ses doigts… Pour moi c’est ça… Parfois je me masturbe en pensant à une fille croisée dans la rue, à toi aussi… J’ai eu envie de toi un jour, ici… Tu n’en as pas fait cas… J’ai fait l’amour avec Jen en rentrant, c’était toi que je sentais…
– On n’a qu’à rester ici, en haut, chez toi, et on baise toutes les trois…On se fait livrer une pizza, et on se saute le livreur… Tu nous regardes faire Lil… Tu es sèche, tu peux sortir, je vais faire MJ…
– Prenez-moi toutes les deux… je veux jouir avec vous… rêver, planer, me donner…
– Tu aimes la sodomie ?
– Je ne déteste pas quand c’est doux… J’ai un beau gode dans ma table de chevet…
– Et si on allait voir mon copain, à la pizzeria ? Mario et ses deux zèbres qui m’ont enfilée comme un collier, à deux d’un côté et Mario de l’autre…
– Tu t’es fait prendre par les trois à la fois ?
– Oui… Baisée toute la nuit, jouir, masturber, sucer, et gémir, crier, beugler quand ils m’ont enculée tous les deux ensemble, leurs deux sexes plantés dans mon cul de salope… Depuis, je suis large…
– Ça fait combien de largeur deux bites ?
– 6 à 8 centimètres… Et par devant ? Le vagin est plus souple non ?
– Faut essayer… Je téléphone à la pizza ?
– Oui MJ…
– D’accord…

– Les filles, Mario est ouvert et a réservé une table pour nous dans une heure…
Pour ses copains, il ne sait pas, mais il va les contacter, on montera chez lui pour les attendre et libérer la pizzeria.
– Mon dieu, j’ai peur…
– Lilas, tu veux un apéro pour te donner du courage, on a une heure…

Je me lève et vais vers elle, elle me sourit…
Elle est désirable avec ses yeux de biche…
Pendant que Marie range son attirail, et passe l’aspirateur, on monte chez elle…
Le canapé est là… Le baiser aussi… Elle fond dans mes bras quand je le serre contre moi. Elle en tremble, sa langue est douce, joue avec la mienne, se cache et je la salive… Son ventre appuie contre le mien, je commence à ressentir quelque chose…

J’enlève son haut, et retire son soutif… Puis je fais glisser sa jupe après l’avoir dézippée…
Ma robe tombe à terre et le reste suit, je tête ses seins, elle caresse et masse les miens, on est en culotte, debout…
Nos seins se frottent, son ventre excite le mien, ses mains glissent sur ma peau, j’ouvre mes cuisses à ses caresses, elle aussi, et nos culottes tombent en même temps, elle s’allonge, offerte, désirable, perverse…
Je la goutte, c’est du nanan…

Une chatte lisse, un abricot de jouvencelle, qui s’ouvre sous ma langue, les grandes lèvres s’écartent, mes doigts viennent caresser cette intimité divine, ma langue plonge et salive son bouton, tourne, elle jouit, en libérant son jus d’amour…

– A toi, viens !…

Ma chatte devient sienne, écartelée sur le sofa, sa tête dodeline entre mes cuisses, je masse mes seins, elle se tourne en 69 pour partager nos caresses…

Nos gémissements montent, elle m’affole, ses doigts sondent mon vagin…
Elle est douce, active, experte… Elle me masturbe longuement et très efficacement, je jouis…

Je fais la même chose et la sens partir, et mes doigts plongent en force, elle crie de plaisir…

Marie nous rejoint, se déshabille, nous voilà trois femmes en chaleur, nous doigtant à la chaîne…
C’est moi qui lui mets le feu, en flirtant avec son petit trou…

– Oh, oui… MJ, tu es douce… Baise mon cul… Il est quasiment vierge…

Et tandis que Marie l’embrasse, j’investis l’anus de Lilas qui s’ouvre, et mes doigts plongent en la délivrant d’un premier orgasme profond et sonore…
Elle jouit, tremble, monte son bassin, s’écartèle, en veut encore…
Elle nous veut toutes les deux, on salive, suce, caresse, on investit ses moindres recoins secrets, elle griffe les draps, nous offre son bonbon, écarte les bras en pointant ses seins, puis désire échanger…

Chacune à notre tour, nous glissons sur elle, nos chattes baveuses étroitement collées, puis en ciseau, nous échangeons ce plaisir divin de lesbienne, sentir son intimité vibrer et couler dans la nôtre, partageant des instants merveilleux de tendresse…

Le temps passe très vite à ce rythme, elles me procurent plusieurs orgasmes, ensemble, terriblement sensuelles, chacune jouissant des autres, puis nous prenant, délicate et sensible, puis vicieuse et perverse, ses doigts de fées, sa langue mutine, ses yeux de biche nus transportent vers des sommets de l’art lesbien…

Nous nous rhabillons le sourire aux lèvres de s’être si bien entendues…

La pizzeria est encore pleine de clients et les conversations vont bon train, mais s’arrêtent lorsque nous nous glissons vers la seule table vide…
Mario nous fait signe de son four, oui, c’est là… Je ne vois pas les garçons… Le brouhaha reprend lentement, on a fait notre effet…

Mario vient nous saluer, surpris par mes deux camarades qu’il détaille en connaisseur…

– Je suis enchanté de vous avoir chez moi, 3 vestales, je suis comblé…
– Tu as joint tes copains ?
– Oui, ils essayeront de se libérer plus tard, il y a un match à la télé, mais j’en ai un autre en réserve…

C’est gai, festif, on discute et vers la fin du service, il prend sa guitare et on chante tous ensemble…

Lilas et Marie sont aux anges, et font les folles, passant entre les tables, jouant avec les mains qui les frôlent, elles s’en fichent et même osent en profiter en riant…

Mario me fait signe de monter, il faut qu’il range son four, et ferme la boutique…

J’entraîne mes amies, passant par le couloir d’à-côté, la porte du studio est ouverte, Pierre et Hervé sont là, devant le poste…
Je fais les présentations, ils nous servent à boire, puis nous encadrent dans le canapé…

Lilas est excitée par le rosé, elle regarde souvent Hervé, Marie est impressionnée par Pierre, elle s’assied près de lui, on parle, elles se présentent, elles draguent ouvertement, le premier baiser est pour Lilas, comme quoi…

Hervé n’a pas pu se retenir, elle montrait ses cuisses en se tournant souvent vers lui, pour discuter….
Elle le regardait dans les yeux en se penchant vers lui… Il l’attira dans ses bras, la serrant contre lui, et chercha ses lèvres qui n’attendaient que ça…
Leur premier baiser fut long, intense, mémorable, elle se laissait glisser dans ses bras, sa robe découvrant largement ses cuisses…

Marie se laissa aller dans les bras de Pierre, ils s’embrassèrent devant moi, et la soirée commença, jusqu’à ce que Mario nous rejoigne…

Il vit les deux jeunes femmes fortement occupées avec ses deux amis, il me tendit la main, puis m’attira contre lui…
Très vite, sa main se fraya un chemin dans ma culotte et je me sentis sur un nuage en quelques secondes…
Il m’emporta dans la chambre, reprit la même pause, puis me déshabilla lentement, et complètement, tandis que je faisais de même pour lui…

Nus, nous échangions des baisers, sans parler, je ressentais son membre contre moi, et il m’allongea, pour venir entre mes cuisses, lécher mon minou…

Je partais en arrière, les bras au-dessus de la tête, les seins gonflés de désir… Je sentais sa langue gagner la partie, tutoyer mon bouton, le sortir de sa torpeur, saliver mon antre, goûter à mon nectar…

Je râlais abondement, lui offrant mon intimité sans réserve, genoux repliés, je massais mes seins, je fondais sous lui…

Il remonta sur moi, et lentement, je sentis sa verge glisser dans ma chatte, j’ondulais, mouillant comme une éponge, et la coquine trouva le jeu à son goût et parvint à l’entrée de mon calice…

J’étais prête, tremblante de désir, écartelée…

Le gland s’enfonça lentement, franchit ma porte et je me mis à jouir, tant j’en avais envie…
Il plongea dans cette moiteur divine, puis revint en arrière et me reprit… Et ainsi de suite, accélérant chaque possession…
Je jouissais, rageais, me donnais, me prenais en soulevant mon bassin vers lui…

Il me fit l’amour longuement, tendre et puissant, me portant jusqu’à l’extase, la libération jouissive qui me transporte et me transforme en louve torride et avide…

Je me pris alors en amazone, affectionnant cette position dominante où j’avais tout loisir de me posséder à mon rythme, jusqu’à l’orgasme que j’aimais, celui que je provoque…

Il me possédait, je me glissais entre ses bras, nos lèvres collées, nos langues rivées, il bandait toujours, je le serrais dans mon vagin…
Il se retenait, je feulais comme une tigresse, il me retourna et me prit par l’arrière, et le sexe s’enfonça de nouveau, ouvrant mes cuisses et soupirant de plaisir…
Il baisa mon sexe ouvert par le sien, ses mains sur mes seins…

Je me tournais encore, sur le ventre, puis je me mis à genoux en offrant mes fesses, la vue de mon abricot et de l’anus l’excita…
Il me reprit en levrette, venant jouer avec mes tétons érigés, ses doigts excitaient mon clito en même temps…

J’étais à lui, j’étais ouverte et prête à le recevoir…

– Oh, oui… Que c’est bon Mario ! Prends-moi ! Jouis-moi… J’aime ressentir ton sexe dans le mien… Explose ta semence, je suis à toi…

Il se raidit et augmente son rythme, agrippe mes hanches avec ses grosses pattes, ahane les derniers coups de rein, et éjacule un flot de sperme en grognant son plaisir de mâle…

La douce chaleur m’envahit, je me détends, il me serre dans ses bras, restant en moi un long moment, un plaisir de femme que de le sentir diminuer, puis s’échapper, laissant place au flot de liquide s’échappant sur son lit…

Il reste sans bouger, dormant sans doute…

Je me lève…

Au salon, les deux couples en sont à l’apothéose, Lilas jouit sous les coups de reins d’Hervé, écartelée, le sexe la labourant en rythme, les genoux repliés derrière lui, se laissant prendre jusqu’au bout, en rugissant…
Elle est envahie par un orgasme, jouit intensément, pilonnée par le dard puissant et elle le reçoit en criant son plaisir…

Marie, les fesses relevées, arcboutée sur le dossier du canapé, se fait défoncer par le membre viril de son amant, qui la fourre avec application et hardiesse, jusqu’à la fin, l’incitant à la prendre encore plus fort, la faisant tressauter, les seins suivant ses mouvements…

– Oh, oui, baise-moi, fais-moi jouir encore, j’adore être défoncée comme une salope de bourgeoise que je suis…

Le silence revient, je me glisse entre les deux couples, et les hommes se tournent vers moi, chacun un sein, leurs mains partout, ouvrent mes cuisses, caressent ma chatte…

– Et si on la baisait ensemble cette salope qui sent encore le foutre de Mario ?
– Oh oui, je vous veux en moi tous les deux… Les filles, Mario a besoin de vous…

Je me laisse transporter, lécher, écartelée, puis le jeu continue, je sens des doigts flatter mon anus, le séduire, puis l’ouvrir… Une bite va s’en occuper… Je me réserve la surprise de savoir à qui elle appartient…

Je ronronne, enfilée de chaque côté, prise en sandwich, jouissant des deux sexes…

Que je suis salope de me laisser baiser ainsi !
Jouir, écartelée devant eux, me montrant dépravée, aimant les orgies, me laissant prendre sans capote, par plusieurs partenaires, ivre de sexe, demandant encore de jouir, suçant les queues à la chaîne, les provocant, tant que je ne les ai pas eues en moi…

J’aime tant baiser comme ça, avec n’importe qui, inconnu avant, copain d’un copain, être séduite, certes, un peu de rêve, celui qui fait monter le désir, les bonnes paroles aidant l’homme à baisser ma garde…
Dès qu’il m’effleure, je le sens déjà au fond de moi, remplissant mon vagin avec ses coups de bite et me portant au paradis du sexe…

J’ai même connu le sexe d’un jeune garçon, un neveu… Il était tant excité…
On dormait dans la même tente, en camping, lors d’une soirée d’anniversaire familiale…
Il faisait très chaud cette nuit-là…
Je m’étais dénudée car impossible de supporter le moindre vêtement…
J’ai senti sa main se refermer sur un sein, profitant de l’obscurité… Le pinçant tendrement… Ses lèvres sont venues l’aider à mordiller et téter pour le deuxième…

J’ai caressé ses cheveux signifiant mon accord, en coulant mon désir… Déjà…
Dans l’intimité complice de la nuit je me suis caressée sans qu’il me voie…
Mais le coquin l’a vu, et il a passé sa main entre mes cuisses, et s’est mis à me masturber…

Il était si gêné, si hésitant… Il était contre moi, nu lui aussi…
J’ai pris son petit sexe dans ma main… Je l’ai coulissé lentement… Il roucoulait…
J’ai pris sa main et lui ai montré, en le guidant sur mon bouton, puis dans ma chatte, tournoyant sur mes trésors, frottant ma vulve, effleurant, puis goûtant mes sucs…
Il bandait fortement entre mes doigts…
Je me suis penchée sur lui, le prenant dans ma bouche, puis offrant ma vulve à ses lèvres et à sa langue…
Cet échange sexuel de débutant, faisait monter mon désir…
J’étais écartelée sur son visage et sentais sa langue ouvrir mon vagin, ses doigts hésitaient… Je les conduisis… Mes lèvres enserraient son sexe qui était devenu assez gros pour son âge… 18 ans, sa première femme mûre sans doute…

Ses lèvres venaient sur moi, parcourant mon ventre… Je l’ai pris dans mes bras, en écartant mes cuisses, je guidais son sexe vers mon intimité, plaçant le gland contre mon puits d’amour…
Il était prêt à franchir le pas…

Poussant sur ses fesses, je me suis ouverte, inondée de désir, retenant mes râles…

Je le sentis pénétrer doucement, il glissait, glissait, m’ouvrait, et me prit entièrement…
Je délirais de plaisir en le sentant en moi, maintenant, gros, ample, long…
Il ressortit doucement et revint au fond, grossissant encore, planté dans mon vagin…

Torride sensation ! Comme prise au piège, je ne pouvais crier, ni râler, les autres étant très proches…
Je guidais ses fesses, lui imprimant le rythme que j’aimais…
Tendre roulis d’océan venant me prendre, me faire trembler, grimper, craquer et griffer les draps…

J’étais ouverte, bassin soulevé par un coussin, mon pubis contre le sien…
On se frottait, il me baisait, je le prenais en moi, le gardais, le portant au bout…
Il n’avait jamais été en face de cela… Quand se livrer, quand éjaculer ?
Est-ce que je serai heureuse de le sentir expulser sa semence ?

– Tu prends la pilule ?
– Oui, c’est tout comme… Stérilet…
– Tu me veux maintenant ?
– Tu vas jouir ?
– Je le crains… J’ai envie de toi…
– Attends…

Je me relève, le sors délicatement, puis le laisse reposer un moment, en m’agenouillant au milieu du lit, fesses relevées, pour qu’il me prenne en levrette…

– Finis comme cela, j’aime cette position…
– Moi aussi, je vais t’inséminer…
– Tu me baises depuis 20 minutes…
– Oh, MJ !… Je rêvais de toi… Je me… Enfin… En pensant à toi…
– Fais-le au réel… J’en ai envie… Tu m’as excitée, tu es doux et tendre… Prends-moi encore, viens en moi, et fais-moi jouir de nouveau, et lâche ta sauce, je ne risque rien…

Il est délicat et me travaille, me lutine, enfonçant son dard au plus profond, s’aidant de ses mains qui griffent mes hanches, ses coups de reins deviennent puissants, je sens sa bite me défoncer l’utérus, il accélère encore…
Je monte les étages, les étapes, les sommets, son sexe irradie tout mon ventre, et ses bourses tapent en cadence…
Je sens un orgasme arriver, on jouit ensemble, je sens sa chaleur, et il gémit et grogne, étouffant nos râles…

J’ai pris sa décharge, violente, mâle, soudaine et virile…
Un jeune garçon juste sorti de l’adolescence, qui se tape une cougar surexcitée, s’ouvrant comme une huitre…

Le sperme coule entre mes cuisses et mouille la couche, il s’est effondré à côté, en sueur et repu, je me penche et embouche son pénis pour le nettoyer et le remercier…
Il grogne de plaisir, j’avale un peu de jus sans rien lui dire… Il s’endort…

Voilà, Marie-Jeanne en croqueuse de petits jeunots…
Ce récit m’a fait comprendre, si je ne le savais déjà, la complexité des relations entre un mari, et sa femme.
De femme dans sa bulle, choyée en tant que mère et épouse, puis au fil du temps, ce fossé qui se creuse au sein du couple… La femme trompée reçoit un coup de poignard, et d’un coup doit réapprendre à vivre…
Elle doit gagner sa vie, se faire de nouveaux amies, garder les anciens et anciennes, les vrais…
Elle devra faire face à des situations diverses, se sentant à même d’avoir un premier amant, puis un second et la vie qui l’emporte…
Sa sexualité fait le reste, Marie-Jeanne est débordante de désir, délaissée avant, elle renait et s’ouvre aux nouvelles pratiques, autrefois taboues…

Le sexe la réveille, devient cougar à l’occasion, sans se prendre la tête, elle accepte ce qui se propose, sans y voir autre chose qu’une relation sexuelle avec un jeune amant, après ses émois avec plusieurs, ses dérives orgiaques autrefois impossibles, mais qu’elle a appréciées…

Maintenant, Marie-Jeanne vit sa vie, elle aime croquer les hommes et les femmes et ne se gène pas selon Marie… Ma coiffeuse…

Elle est papillon, et Marie recueille ses récits avec ses amants, elles ont tramé une soirée avec le copain de Marie, qui a réveillé le couple et enchanté Marie-Jeanne.
Lilas a quitté son amie, et revient se faire coiffer, s’isolant très souvent avec Marie…

Je suis conviée à la prochaine réunion…

FIN
Marika842010 juin 2019

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