Uncategorized

Service Sévices

Babes

Service Sévices
Lorsqu’il débarque le premier jour, le jeune Matthieu Deguerre n’en même pas large. Son piston pour être affecté dans cette base militaire de Djibouti est une idée de son père qui souhaite que « l’armée en fasse un homme » après avoir appris avec honte ses pratiques homosexuelles. Avec son physique d’adolescent blond un peu grassouillet, il tranche franchement sur le reste des apprentis militaires qui l’entourent. Il va faire ses classes à Bayonne puis ce sera direction le Sénégal. Dés le premier jour, il est mis de coté par ses camarades à cause de sa voix fluette et ses attitudes un peu maniérées. Le premier à l’appeler « la tapette » est une espèce de gros porc rasé taillé comme un taureau qui s’appelle Bernard.
Tout commence alors qu’ils sont en rang pour aller chercher leur paquetage. Bernard et un autre type dans son genre se mettent juste derrière Matthieu à l’essayage et ils sont les derniers à passer. Sous l’œil rapidement bienveillant du sous-officier fourrier qui vérifie la distribution des paquetages, l’humiliation commence :
– Elle a un beau petit cul, la tapette ! se marre Bernard tandis que le blondinet en slip peine à enfiler son treillis tellement il tremble. Elle est toute grasse. Ca lui fait même des petits nichons comme une jeune cochonne.
– Faudra vérifier si elle a la queue en tire-bouchon, la cochonne ! renchérit Marco le copain de Bernard, un grand sec à moustache. Si ça se trouve c’est une grosse chagatte qu’elle a dans le slip.

Le fourrier, un balaise d’une cinquantaine d’année, intervient alors à la grande joie des trois autres :
– Retire ton slip, le blond !
– Mais pourquoi ? Aucun des autres… commence à gémir Matthieu.
– Ne discute pas ! Ici c’est moi qui commande alors fais tomber ton slip ou je viens t’aider !

Comme le blondinet reste prostré les yeux baissés, le fourrier dit à Bernard et son ami en désignant la victime :
– Va falloir lui apprendre à obéir à celui la visiblement ! Vous là, aidez le à exécuter un ordre direct quand il émane d’un supérieur !
– Bien chef !!! Jubile Bernard.

Les deux brutes sautent sur Matthieu qui se défend comme il peut. Il est rapidement immobilisé et Bernard fais brutalement descendre le sous-vêtement. Une petite verge ridicule mais bien raide apparaît sur un bas ventre pratiquement glabre.
– Mais on dirait que ça l’excite, la petite salope ! gronde Bernard, le souffle rauque.
– Faut bien regarder pour trouver quelque chose, ricane méchamment le fourrier. C’est de la quéquette de minet ça.
– Pitié laissez moi, supplie Matthieu.
– Il doit être pédé, intervient Marco. C’est bien le genre à se faire enculer par des crouilles !
– C’est vrai ça ? ricane Bernard. T’es une pute à bougnoule, blondinette ?
– Faudrait vérifier ça, coupe le Fourrier. Faudrait pas qu’elle nous amène ce genre de mœurs ici, la pédale…
– Bien chef ! jubile le gros porc en retournant Matthieu et en le forçant à se mettre à plat ventre sur le ciment. Fais voir ton trou du cul au chez, pédé ! Ecarte tes fesses de petite pute !!!

Le pied du gros sur le visage, Matthieu sanglote :
– Je vous en prie…
– Il nous en prie, singe le grand Marco. Allez cambre toi, cul à crouille ! T’as l’habitude de te faire ramoner, j’en suis sur ! Ouvre bien ton trou qu’on voit le genre de calibres que tu te prends !!!

Le jeune grassouillet obéit en sanglotant et tous peuvent voir son anus rose très large qui palpite en fonctions de ses pleurs.
– Regarde ça comme il s’ouvre, souffle Bernard. Une vraie pute à nègre… Il en est pas à son d’essai, le pédé !
– Faut le défoncer ! gronde sourdement Marco en désignant une grosse lampe-torche posée sur le comptoir. Putain, je vais lui déchirer le cul avec ça à cet enculé !
– Pas de ça ici, les gars ! coupe le Fourrier. Il y a du monde qui attend !
– Merci monsieur, merci… gémit encore Matthieu, trop content de voir le militaire intervenir.
– Ta gueule, la pédale ! reprend le Fourier. T’es qu’une salope à bicot, ça se voit ! Les pédales comme toi, on les dresse ici et toi, on va te dresser mais c’est ni le moment ni l’endroit !

Puis s’adressant à nouveau à Bernard et Marco :
– Faut me l’attendrir un peu puis vous me le ramènerez hein, les gars ? Le soir vous êtes peinards au dortoir et les douches, c’est pas pour les chiens…
– Mon Dieu… sanglote Matthieu.
– Ferme ta gueule et remets ton slibard, la tapette ! rugit le fourrier. A la visite médicale, vous demanderez l’adjudant Melos. Je vais le prévenir…
– Merci Chef, répondent en cœur les deux autres.

Le paquetage sur l’épaule, le trio ressort enfin. Matthieu est encadré par les deux autres comme s’ils étaient de vieux amis et ils rejoignent le reste du groupe.
– T’aime pomper des gros nœuds, hein ma salope ? lui susurre Marco doucement. T’inquiète t’aura ta dose…
– Fichez moi la paix, se rebelle l’agressé.
– Qu’est ce qui se passe là bas ? demande le sergent instructeur, un nommé Paulain qui n’a pas l’ai commode du tout.
– Rien chef, ricane Bernard. C’est la petite blonde qui fait du gringue à mon pote !

Tout le groupe part d’un grand éclat de rire en se dirigeant maintenant vers le réfectoire et le jeune homme peine à retenir ses larmes. Une fois à l’intérieur, Matthieu essaie de s’éloigner de ses deux bourreaux mais ils le contraignent à s’asseoir entre eux. Bernard qui a prit de la choucroute pose doucement une saucisse dans l’assiette du blond et lui dit – suffisamment fort pour être entendu par l’ensemble de la tablée :
– Tiens la pédale, c’est un petit calibre pour toi mais tu peux la sucer histoire de pas perdre la main ! ce qui fait fondre l’humilié en larmes.
– Pleure, la cochonne, ajoute Marco en lui caressant les cheveux avec une fausse gentillesse avant de lui glisser doucement, Vas y chiale, moi ça m’excite !

Et il prend la main de sa victime et la pose discrètement sur sa queue énorme qui gonfle son bas-ventre. Matthieu n’ose pas retirer sa main et l’autre lui murmure :
– C’est une bonne défonceuse que j’ai pour toi, t’inquiète ! Ce soir je te ramonerai le trou comme t’aime, t’en redemanderas !

Après le déjeuner, la tête de turc bénéficie d’une paix relative puis c’est le départ pour le contrôle à l’infirmerie de la caserne. Les nouveaux attendent tranquillement leur tour pour passer l’un après l’autre quand un bidasse intervient et demande à Matthieu, Bernard et Marco de le suivre. Les deux lourds se marrent et le blond tremble. Le militaire les fait entrer dans une pièce et les laisse face à une homme dégarni à la bouche lippue et aux petits yeux cruels. Plutôt petit et gras, il porte une tenue de médecin et se présente comme étant l’adjudant Melos avant de dire à Matthieu :
– D’après le sergent-fourrier Lorrain, tu serais homosexuel.
– Non je…
– Tais-toi ! coupe sèchement le toubib. De toute façon, nous allons vérifier. J’ai demandé l’assistance de deux témoins pour garantir tout débordement mais le colonel Vogt qui commande cette place aime savoir s’il a des brebis galeuses dans ses rangs.

Personne n’ose faire de commentaire tellement la voix de ce toubib met mal à l’aise. Il désigne à un Matthieu terrorisé la table d’examen qui trône au centre de la pièce :
– Monte la dessus puis mets toi à quatre pattes.

Vaincu, le blondinet obéis servilement, allant même jusqu’à coller sa poitrine sur le cuir en cambrant spontanément ses reins ce qui lui vaut un commentaire de l’adjudant pendant qu’il enfile des gants de chirurgie :
– En effet, tu m’as l’air d’être habitué à la position !

Il passe sur le coté et baisse le pantalon puis le slip du jeune homme. Une fois de plus, tous peuvent constater qu’il est en érection et les deux spectateurs ricanent.
– S’il vous plait, messieurs ! tempère sèchement l’officier en enduisant ses doigts de lubrifiant avant d’ordonner à Matthieu. Ecarte tes fesses !

Il regarde avec attention le spectacle :
– Et bien… une vraie chatte de pédale en effet !!! Il mouille du cul tellement ça l’excite d’être ainsi explosé !

L’adjudant tâte l’anus offert du pouce avant de faire pénétrer lentement deux doigts profondément dans l’orifice du jeune homme qui pousse un petit gémissement. Il fait coulisser ses doigts une dizaine de fois puis en ajoute un troisième et recommence, bien à fond et de plus en plus brutalement ce qui accentuent la respiration saccadée du patient.
– Elle aime ça se faire travailler le trou, la blondinette ! ricane méchamment le docteur en redoublant de vigueur.

Après cinq minutes de ce traitement, visiblement satisfait, il palpe les testicules et décalotte la verge ridicule sèchement plusieurs fois.
– C’est tout englué de jus tellement ça lui plaît… Une vraie femelle…

Il presse les petites couilles puis écrase méchamment le gland et Matthieu ne peut s’empêcher d’éjaculer en lâchant un très féminin « oh oui ! ».
– Porc !!! rugit l’adjudant, le front baigné maintenant d’une sueur épaisse.

Il n’a pas lâché le petit sexe qu’il traie sadiquement pour en extirper toute la jute possible et ajoute d’un ton neutre :
– Quelle horreur ! Regardez-moi ce personnage dégoûtant qui se vide tellement il est excité d’être examiné par les mains d’un autre homme !!!

Matthieu a la bouche ouverte et cherche l’air tandis que tous peuvent contempler son anus dilaté qui s’ouvre et se referme de façon obscène à chaque fois qu’il crache une nouvelle giclée de sperme.
– Il va falloir très fermement contrôler ce pervers, messieurs ! reprend le médecin sans cesser de branler le blondinet pour autant. Regardez moi ça !
– Quel sale pédé ! souffle Marco, la queue tendue.
– Il jouit comme une vraie gonzesse ! ajoute Bernard, l’œil lubrique.
– Le sergent-fourrier Lorrain a le chic pour les repérer, pontifie le docteur en broyant méchamment la verge gluante qui redevient molle. Il a aussi fort heureusement des techniques pour les calmer !

Puis abandonnant enfin le garçon qui tremble encore, il retire ses gants et prend place comme si de rien était derrière son bureau puis dit à Matthieu :
– Descends de là et rajuste-toi, petite saleté !

Le garçon obéit et – rouge de honte – il va pour prendre un chiffon pour essuyer les flaques de sperme qui parsèment la table d’examen en s’excusant quand le gros suant, rajustant ses petites lunettes rondes intervient :
– Laisse ça et assieds-toi devant moi ! J’ai des questions à te poser en présence de tes camarades pour qu’ils sachent bien à quel type de déviant ils ont à faire ! Puis s’adressant aux deux autres : Il va falloir impérativement me surveiller cette truie lubrique, messieurs !
– Oui mon Adjudant ! sourit Bernard.
– Vous devrez veiller à ce qu’il soit puni très durement s’il montre des signes de perversion, je compte sur vous.
– Ce sera fait, mon adjudant ! jubile Marco. Dés ce soir…
– Revenons-en à toi, l’éjaculateur ! souffle le médecin. J’ai pu constater que tu avais l’habitude d’avoir l’anus pénétré. Tu te le fais seul ou tu te fais sodomiser par d’autres hommes ?
– Je… hésite le jeune homme de sa voix fluette.
– Et bien parle, s’emporte Melos. Après ce que nous venons de voir, tu ne vais pas en plus jouer les pucelles effarouchées !
– Je me le fais et on me le fait faire, monsieur…
– Mon Adjudant ! coupe le gros porc qui se met à suer un peu plus. Tu pratiques la fellation aussi bien entendu…
– Oui, mon Adjudant !
– Et tu avales ?
– Pardon je…
– La jute !!! Tu l’avales quand tu tailles des pipes, pédé ? s’emporte le médecin tandis que sa main va et viens lentement sous le bureau.
– Oui j’avale… Mon Adjudant…
– Tu aimes quand on t’exhibe hein, salope ? Et quand on t’humilie… Ca te fait triquer ça…
– Oui… C’est vrai… avoue honteusement Matthieu, le regard baissé.
– La petite pute… lance Marco, ravi.
– J’ai bien vu lorsque je te palpais la verge et les testicules ! glousse méchamment l’homme en blanc. Tu mouilles de la queue et du cul… Et tu aimes quand ça fait un peu mal hein.
– Oui…
– Tes tétons aussi tu aimes qu’on te les travaille, n’est ce pas…
– J’aime ça, mon adjudant…
– Ca fait longtemps que tu te fais enculer et que tu suces des bites, salope ?
– Oui… J’avais 13 ans… Avec mes cousins au début…
– Il faudra revenir me raconter tout cela, grogne le gros qui ruisselle maintenant et dont la main s’accélère. En parler te fera du bien… Tu aimes les gros calibres dans ton trou hein, pédé ? Des grosses queues de négros par exemple ! C’est pour ça que tu as demandé à aller à Djibouti : pour te faire ramoner par des nègres !!!
– Non c’est mon père qui…
– Tais-toi ! tranche Melos tout à son délire, la main frénétique. On a quelques négros ici dans le cadre des échanges inter-armés ! Et ils n’ont pas vraiment l’occasion de se vider les couilles ! La plupart des femmes en ont peur car ils ont des queues vraiment énormes mais toi ça te fera pas peur avec ton trou défoncé hein ?
– Non s’il vous plait… supplie Matthieu en se remettant à pleurer.
– Tu as intérêt à être une tapette bien obéissante alors ! Et à faire ce que te disent les gradés de la base sinon tu seras affecté à leur chambrée et ce ne sont pas des tendres, c’est bien compris ?
– Oui, mon adjudant. Tout ce que vous voulez…
– Tu obéiras aussi à ces deux hommes qui sont là ! Je compte sur eux pour bien te surveiller et te recadrer sans pitié de la façon qui leur plait si tu succombais à tes pulsions dégoûtantes. Maintenant sortez !

Marco pousse Matthieu hors de la pièce en lui palpant les fesses sans vergogne suivi de Bernard qui jubile. Ils ont rejoint les autres quand le moustachu s’aperçoit après quelques minutes qu’il a oublié son sac personnel dans le bureau de l’Adjudant. Il revient vers le bureau dont il entrouvre doucement la porte.
Mélos lui tourne le dos. Il est en train de laper le sperme épais sur la table et à le pantalon sur les chevilles. En même temps qu’il se délecte, il enfonce sauvagement un énorme godemichet entre ses grosses fesses grasses et zébrées de traces de martinet. Marco referme la porte en silence et revient vers le groupe en souriant.

Le sergent Paulain vient de quitter la chambrée. Chacun prend sa place sur les lits superposés dans le calme et bien entendu Matthieu se retrouve entouré par Bernard et Marco. Personne n’a prit le lit au dessus de celui du blondinet tellement la situation est claire pour tout le monde. Les sacs ne sont pas défaits que déjà Bernard fait un clin d’œil à son complice et dit doucement à Matthieu :
– Tu te mets en t-shirt et sans slip maintenant.
– Non s’il vous plaît… se met à pleurer le blondinet.
– Allez arrête, t’en meurs d’envie ! Vu comme le toubib t’as tripoté le trou à merde, je suis sur que ta petite quéquette est toute dure.
Le garçon s’exécute et les choses sont maintenant claires pour toute la chambrée quand il est forcé par Bernard à déambuler dans la travée, les yeux baissées de honte et les fesses à l’air, sa verge ridicule bandée. Les ricanements et les quolibets fusent. Matthieu entend même un gros noir mal rasé appelé Moussa lui lancer « à ce soir » quand il passe devant lui.
De retour sur son lit, Matthieu constate en regardant à la dérobée que Bernard s’est mis en short et qu’il lui désigne son gros membre luisant à demi dur puis lui lance :
– C’est pour qui le gros nonos, petite salope ?
Le retour du sergent Paulain calme le tondu. Constatant que le jeune homme ne porte pas de slip, le gradé lance, goguenard :
– Ah ben ça va, Deguerre ! On prend ses aises ?
– Sergent c’est… commence l’autre.
– Je ne veux pas savoir ce que c’est ! Vous aimez vous balader la queue à l’air, allez donc me nettoyer les chiottes dans cette tenue, tiens ! Ca vous apprendra la pudeur !
Comme Matthieu se met à sangloter, il gronde :
– Maintenant !!! Puisque ça vous fait bander de vous exhiber, vous me ferez les chiottes tous les matins et à quatre pattes avant que vos camarades se lèvent, ça vous dressera !
Anéanti, l’humilié quitte la chambrée avec son seau et son balais sous les rires gras.
– Rangez vos affaires au lieu de vous marrer sinon vous prendrez sa place, tas d’andouilles !!! menace le sergent. Dans dix minutes, tout le monde en bas pour le dîner.
Quand Matthieu entre dans le réfectoire, sa réputation est faite. Entre les regards dégouttés, les invites grasses plus où moins directes, il est clair que tout le monde a entendu parler du « pédé ». Il va pour s’asseoir à l’écart tranquillement avec son plateau quand Marco l’apostrophe non loin de là :
– Psssst ! Salope ! Viens ici, salope ! On t’a gardé une place !
Comme Matthieu fait mine de l’ignorer, le moustachu siffle, mauvais :
– T’as intérêt à venir j’te jure sinon tu vas le regretter !
Tremblant de peur, le blondinet vient s’asseoir entre ses deux bourreaux. Il reconnaît à la table sept autres types de la chambrée qui le regardent en souriant.
– Ce soir on te baptise ! commence Bernard.
– T’es notre femelle, salope ! On va te faire tourner ! C’est comme ça qu’on dit hein ? demande Marco à Farid, un maghrébin très mince à l’air méchant.
– Ouais, répond l’arabe. Elles aiment ça les blondinettes dans la cité ! Des fois on leur passe à trente dessus et elles en redemandent ! Y a même des bourges qui amènent leurs femmes rien que pour ça !
– Oui mais c’est des meufs que vous vous tapez, corrige un type.
– Tu sais, un trou c’est un trou ! répond Farid. Pis lui c’est pas un homme… T’as vu sa petite queue et ses allures de minettes ! Regarde, il a presque des nichons !
– Avec une perruque et des fringues de pute, je suis sur qu’on y croirait ! dit un autre.
– C‘est pas con ça ! lance Bernard, pensif. J’avoue que je préfèrerai aussi me taper un beau petit travelo ! Tu t’es déjà habillé en gonzesse, le pédé ? Et mens pas hein !!!
– Oui… admet Matthieu en sanglotant.
– Quelle pédale !!! se marre un mec.
– Ben voilà !!! renchérit Marco. J’irai voir le fourrier, c’est un mec cool !
– on va lui trouver une perruque. Et des talons aussi hein ! Avec ça, je suis sur qu’il ressemblera vraiment à une nana ! s’excite Bernard.

Une fois rentrés dans la chambrée, les comploteurs ordonnent à « la salope d’aller se laver le trou » et Matthieu part en gémissant dans les sanitaires. C’est le premier jour et il va servir de femelle à tous ces hommes. Il est horrifié de voir que ça le fait bander et manque éjaculer en imaginant ce qu’il va subir. Il se dégoutte. Sa passivité perverse et le plaisir qu’il prend à être toujours plus dégradé lui fait peur. Il défèque longuement puis prend une douche en se savonnant particulièrement les fesses et en nettoyant le plus loin possible son rectum. Le regard dégoutté d’un autre membre de la chambrée prenant sa douche un peu plus loin le fait à nouveau triquer. Le rouge au front, il revient dans la chambre. Peu avant que les lumières s’éteignent, il sort de son sac à un gros tube de lubrifiant qu’il pose docilement sur le tabouret qui lui sert de table de nuit et déclenche un ricanement de Bernard :
– Putain la chienne ! T’es bien venu pour ça ! T’inquiète, on va te donner ce que tu veux, tu vas voir !

Lorsque le noir se fait enfin, les premières formes approchent de son lit en silence. Il retire docilement son slip et son T-shirt et une première bite à l’odeur âcre se présente devant ses lèvres. Il la prend en bouche et se met à sucer tandis que des mains anonymes remontent ses jambes. Il sent qu’on plante profondément l’embout du tube de lubrifiant dans l’anus et le gel pénètre en lui. Il pousse quand il sent le premier violeur poser son gland sur son trou sans préparation et la verge dure s’enfonce entre ses fesses ouvertes. Le viol collectif se déroule alors avec brutalité malgré sa passivité. Les insultes fusent et ses tétons sont étirés par sadisme pendant que sa petite verge et ses testicules sont écrasés par des mains puissantes. Les queues se succèdent dans son anus devenu béant, leurs propriétaires faisant leur possible pour se vider dans sa bouche offerte. Matthieu éjacule deux fois sous les quolibets et à sa grande honte. Rapidement, l’ambiance est survoltée. Ses mains aussi sont occupées et il branle des bites frénétiquement jusqu’à ce qu’il referme sa main sur un membre gigantesque.
– Non pas ça ! gémit-il doucement.
– Ta gueule et suce, pédé ! répond une ombre.
– On t’a gardé le meilleur pour la fin sinon on n’aurait pas touché les bords… se moque une autre.
Il tente de se débattre mais ses violeurs le maintiennent fermement plaqué au matelas. Il reçoit d’autorité un sexe gluant dans la bouche et sent que le propriétaire de l’engin monstrueux s’installe entre ses jambes. Ses chevilles sont posées sur les larges épaules et l’homme, qu’il reconnaît comme étant Moussa le noir, pousse son gland hypertrophié sur l’anus dilaté. Des larmes de souffrances et une sourde plainte masquée par la queue qu’il suce toujours encouragent le black à continuer.
– Je vais te défoncer ! souffle son tourmenteur.
Matthieu a l’impression que ses reins sont en feu tout le temps que la tige d’ébène met pour s’introduire entièrement. On tire sur ses fesses frénétiquement pour favoriser la terrible pénétration et lorsqu’un des violeurs allume une lampe électrique, les commentaires fusent :
– La vache !!! Quelle bite de cheval !
– Ressors la Moussa ! Qu’on voit son trou !
Tandis que le noir décule lentement, Bernard en profite pour s’asseoir au dessus de la tête du jeune homme et lui dit :
– Vas y ! Bouffe-moi la rondelle !!! J’adore ça mais les putes veulent pas le faire !
La verge noire est toute entière ressortie et le spectacle est visiblement impressionnant.
– Remets-lui ! souffle Marco sadiquement. Vas-y ! Déchire-le !
Comme Moussa se renfonce d’une seule poussée brutale, Matthieu tente de bouger, le cul explosé. Il n’en faut pas plus aux autres pour le maintenir toujours plus violemment.
– Lape ! Lape mon trou ! souffle Bernard. Et branle-moi en même temps ! Je vais te travailler les nichons pour te motiver.
Le tondu lui tord si horriblement les mamelons qu’un instant le violé pense qu’il les lui a arraché. Pendant ce temps, infatigable, le noir le sodomise avec une férocité accrue. Matthieu sent la jute remonter une fois de plus dans sa petite verge et un coup de rein particulièrement brutal le fait à nouveau éjaculer.
– Il jute, le pédé ! Je sens son cul qui me sert par saccades !!! raille Moussa. Mais moi j’ai pas fini.
Pendant vingt minutes, il continue à pilonner l’orifice devenu béant, ne s’arrêtant que pour les « coups de lampe » réguliers. Le spectacle a attiré des curieux qui en profitent à leur tout pour se faire sucer ou branler maintenant que Bernard à éjaculé grâce à la caresse anale. Cinq autres hommes l’imitent et présentent leurs rondelles âcres que Matthieu lèche docilement. Enfin, le noir jouit en grognant à longues saccades épaisses, directement dans le conduit défoncé puis ressort l’énorme boudin qui s’amollit et dit :
– Nettoie !
Tout le temps que Matthieu lèche le membre hors norme, la lampe reste allumée et tous peuvent profiter de son visage englué de sperme et baigné de larmes. Enfin, les violeurs se dispersent comme des voleurs, laissant le jeune homme se recroqueviller dans se draps souillés, le cops exhalant une écœurante odeur de mâles en rut. Matthieu s’aperçoit qu’il bande à nouveau. Rompu et une fois encore atterré devant son attitude infecte, il passe lentement sa main entre ses fesses et constate que son anus reste béant et terriblement douloureux. Alors qu’il pense que tout est terminé, il a droit à deux nouvelles visites et suce en gémissant les silhouettes qui l’obligent brutalement à ouvrir la bouche encore et encore. Puis il sombre enfin dans le sommeil.

(suite à écrire encore…)

Bunlar da hoşunuza gidebilir...

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir